Nom : Bérenger de Sassenage Prénom :Marguerite Âge : 41 ans, 29 ans d'apparence Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Lieu de résidence :Palais des Tournelles et Château de Plessis. Groupe :Roy et sa Cour ; vampire infiltrée auprès du Roy par le Comte Dracula Titre: Dame de Beaumont Métiers : Dame d'honneur de la Reine, maîtresse favorite du Roy. Pouvoirs : Télépathie Famille : Parents: Fille de Henri Le Roux, baron de Sassenage(mort en 1424) et d'Antoinette de Saluces
Frères: Louis Bérenger de Sassenage (Seigneur de Pont-en-Royans) Jacques Bérenger de Sassenage (Seigneur de Noyarey) François III Bérenger (Baron de Sassenage)
Époux: Mariée à Amblard IV, Seigneur de Beaumont, de Crolles et de Lambin
Autre: Cousine par alliance de Louis de Beaumont, évêque de Paris
Enfants: Amblard de Beaumont (1440) 25 ans Aymon de Beaumont II (1442) 23 ans Jean de Beaumont (1443) 22 ans Jeanne de Beanumont (1445) 20 ans
Guyette(Jeanne) de Valois (1447) 18 ans Marie de Valois (1449) 16 ans Isabeau de Valois (1451) 14 ans
PORTRAIT ...
Physique : Elle a toujours su comment se débrouiller avec les hommes; mais elle avait un avantage contre les autres demoiselles de son temps, sa beauté faisait toujours parlée. Marguerite gardait toujours un teint pâle, s'éloignant du soleil comme les coutumes se plaisait a inventer. Elle saupoudrait son visage de porcelaine d'une poudre blanche qui enlevait tout éclat sale et luisant. Malgré sa condition, elle se plaisait toujours à suivre les modes des femmes comme si elle se laissait encore croire à son ancienne vie. Elle alla même jusqu'à feindre sa petite taille pour y faire paraître un ventre arrondis par trois fois. C'était presque divin, la jeune femme gardait sa taille fine et ses seins rond et haut. Personne ne pouvait faire faner son corps. Outre que son jolie minois, elle possédait des lèvres voluptueuses et rondes qui laissait l'imagination des hommes aller. Elles étaient douces a embrasser, a flatter, a flâner. Elle avait toujours ce petit goût de fraises qui restait après un baiser passionner. En remontant son visage, on s'arrêter à ses yeux bleus saphir. Elle pouvait y faire transparaître n'importe quels sentiments. Non pas par puissance mais bien car elle avait un don inné pour la manipulation.
Cette femme marchait tel un ange dans un couloir, doucement et sans faux bonds. Elle agissait gracieusement et pesait ses mots avec sagesse. Ses robes laissaient entrevoir des cuisses fermes et rondes de femmes, sans que la maternité n'y est touchée. Ses seins se montraient dociles mais défiant tout bon sens. Il en était de même pour ses dents, blanches et éclatantes. Sa tête était couronné par une multitude de boucles presque doré. Une tête de reine! Le tout s'agençait élégamment à ses robes bien choisis pour son teint pâle et ses cheveux de blés. Elle faisait ombrage à la Reine. Marguerite avait son gros avantage qui avait aidé a ne pas ternir sa beauté, elle fut mordue par un vampire qui l'a rendu encore plus merveilleuse. Elle abuse donc de son don tout en servant son maître.
Mental : Spirituelle, enjouée et séductrice. Ce sont là les trois mots que toute personne, non influencée par sa beauté, lui donnerait. Elle est né dans la tradition du Christ et se confesse quand le moment vient. Car tous les jours ou presque, elle s'adonne au péché de chair, de mensonge et désirs. Son oncle par alliance, Monseigneur Louis de Beaumont, écoute majoritairement ses confessions et se promettent tous deux des renseignements sur leurs souverains ou autre personne influente. Dans le silence de sa chambre, à genou, ou dans le lit de son Roy, elle exauce ses prières à Dieu, telle une franche pieuse. La messe du dimanche lui est sacré tout comme le signe du Christ qu'elle porte jalousement à son cou.
On la voit rarement sans son sourire qui ferait fondre tous les miséreux et les manants du monde. Elle prend plaisir aux petits gestes du quotidien qui se résume rapidement à la couture, la broderie, les jeux de cartes et les balades dans le jardin sous son ombrelle aux milles broderies. Elle se plaît à être la maîtresse de Louis et s'offrir seulement qu'à lui. Elle connaît sa jalousie et son envie de ne pas partager ses femmes. Sa vie reste simple dans son ensemble, quand on ne rajoute pas la surveillance constante qu'elle en a fait son habitude depuis plus d'une dizaine d'années.
Séduction; Sa beauté est maladive, ses yeux envouteurs et elle abuse de son aura. Elle croisa un jour le roi, revenant de nul part et vu cette femme, un pied appuyé contre la rambarde. Elle releva tranquillement sa jupe en glissant sa main à l'intérieur. Elle réajusta sa jarretière en lançant qu'un seul petit regard vers l'homme. Elle replaça ses jupons et sa robe et lui fit dos. Son visage devait sans aucun doute avoir imprégner l'esprit du roi.
Signes Particuliers :Son teint blanc est presque maladif. Quelque médecin on bien voulu l'examiner mais elle refusait de manière catégorique. De plus, elle porte à son cou le signe de Dieu qu'elle tient souvent dans sa main lorsque quelque chose ne va pas.
VOUS...
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